La rue Piron et la rue du Bourg

Entre la place Saint-Jean et la place Jean-Macé (ancienne place Saint-Georges). On trouve Les Galeries Dijonnaises, un autre grand magasin de la ville (avec Au Pauvre Diable et A la Ménagère de la rue de la Liberté). Après Prisunic, c'est Monoprix qui occupe l'emplacement (depuis 2001).

La place Saint-Jean et la rue Bossuet

Le clocheton d'angle qu'on aperçoit au fond de la rue est celui du grand magasin La Ménagère (au Coin du Miroir, face au Pauvre Diable). Sur la vue actuelle, on remarque que son dessin a ensuite été simplifié.

La rue Michelet et la place Saint-Jean (Emile-Zola)

En 1904, quand la municipalité Barabant laïcise ses rues (voir la place du Peuple et la place Saint-Bernard), l'ancienne place Saint-Jean reçoit le nom d'Emile-Zola. En 1921, elle est renommée place Bossuet. On remarque à l'angle gauche les Grands Magasins lyonnais, pittoresque bazar surmonté d'une marquise et d'une terrasse à balustrade.

La rue de la Liberté : la Ménagère

Après le Coin du Miroir, entre la rue des Godrans et la place François Rude. "A la Ménagère", c'est l'autre grand magasin de la Belle époque, en face du premier ("Au Pauvre Diable"). Il ouvre en 1897 mais ne survit pas aux Années folles (il ferme en 1924).











Les tramways de la ville portent souvent sa publicité.

Le Coin du Miroir : tramways

Le 26 décembre 1910, une statistique de la circulation a été effectuée à ce carrefour. On y a compté 21 324 piétons ; 1 769 cyclistes ; 560 attelages ; 480 tramways ; 210 automobiles ; 42 motocyclistes ; 5 cavaliers.