Jusqu'aux années 1930, les lavandières ou blanchisseuses se rendent avec leurs brouettes de linge le long de l'Ouche où il y a de nombreux lavoirs publics.
Après la seconde guerre mondiale, les usines de moutarde Amora s'installeront entre l'Ouche et le canal, à l'angle de la rue Hoche et du quai Nicolas-Rolin.
Après la guerre de 1870, Dijon intègre le réseau des villes qui défendent l'Est de la France (VIIIème corps d'armée). Vers 1900, la garnison compte près de 5 000 hommes répartis dans une douzaine de casernes. On en trouve dans toute la ville, comme par exemple rue Hoche avec ce quartier Delaborde, siège du 8ème escadron du train (transport et ravitaillement).