La rue Chaudronnerie : la maison des Cariatides

Comme pour la maison Milsand (rue des Forges), les cartes postales anciennes témoignent de la succession des commerces au rez-de-chaussée de cette belle maison des Cariatides (maison Pouffier, XVIème siècle).

A la fin du XIXe siècle, on trouve la maison Deschamps, poëles et cheminées, et son successeur, Armand Clerget.



Et puis une étude de commissaire-priseur et son hôtel des ventes :


Vers 1900, l'emplacement est à louer :



Vers 1901, l'épicerie de l'Union s'y installe (Bourgeois père et fils, puis Clavier-Poiffaut) :







Peu avant la guerre de 14, on trouve ce magasin d'antiquités, "A nos ancêtres", tenu par Mme Veuve Faney. Qui ne rêverait de visiter un antiquaire-brocanteur des années 1910 ?





Après la guerre de 14, l'emplacement reste un moment inoccupé :


Enfin, entre les deux guerres, c'est un magasin d'ameublement qui prend la suite :




De nos jours, la façade restaurée a retrouvé ses arcades :

La rue Verrerie








La Place des Ducs

Derrière le palais des Ducs, à l'extrémité des rues des Forges et Verrerie...















La rue Babeuf (de la Chouette)

Au bout de la rue de la Préfecture, on retrouve Notre-Dame et la rue Musette à droite.


A gauche, longeant le flanc de l'église, cette petite rue Babeuf (1905) ne reçoit le nom de la Chouette qu'en 1957. Il semble d'ailleurs que ce motif sculpté n'intéresse pas beaucoup les Dijonnais de la Belle Epoque : il n'en existe aucune carte postale ancienne !