Sa belle façade ornée de caryatides est encore visible aujourd'hui :
Deux séries de cartes postales gardent le souvenir de deux revues. Ces spectacles satiriques, souvent grivois, associent farces, danses et chansons.
En 1906, c'est le "Ba... Dijonnons" par la revue Le Matin. Le premier tableau est sans doute une allusion au scandale politique des décorations (1887).
En 1908, c'est la revue "Ça t'étonne" qui fait la part belle aux costumes féminins et évoque des événements de l'histoire dijonnaise (comme la barricade de la rue Jeannin sur la dernière carte).
4 commentaires:
Je ne connaissait pas ...super !!!
Salut Flavien ! Merci pour ton commentaire...
Bonsoir M. Linder,
Bravo pour votre site que je visite régulièrement.
Suite à quelques recherches personnelles, j'ai trouvé quelques informations concernant l'Alcazar qui peuvent vous intéresser.
Paul Loos, fils d'Émile Loos (directeur du Casino), a été le « jeune et sympathique directeur de l'Alcazar » de novembre 1903 à novembre 1904. Dix ans plus tard, il était ruiné et tirait sur une ancienne maîtresse (sans la tuer) dans le commissariat de Clignancourt.
D'après les affiches des artistes (Lamousse, Frémy et Bruno Pitrot), le cliché sur le pas de la porte a dû être pris entre le vendredi 13 et le jeudi 19 octobre 1905. L'homme au chapeau serait-il le directeur de l'époque, M. Blache ?
Enfin, une dernière précision. Il y eût des spectacles à l'Alcazar Kursaal jusqu'au début de l'année 1911, puis l'établissement fût déclaré en faillite en février et, à l'occasion de la vente aux enchères qui s'ensuivit (25 mars), fût acheté par les Magasins modernes. Fin de l'Alcazar.
Cordialement,
Archi
Bonsoir Archi, merci pour vos commentaires très intéressants avez-vous peut-être d'autres renseignements concernant le directeur de l'Alcazar, Paul Loos? Je suis très intéressée à reconstruire son histoire, merci Caterina
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